En 2024, de multiples entreprises vont devoir renouveler leur comité social et économique (CSE). Un moment décisif propice à une réflexion sur le fonctionnement de cette instance, notamment concernant les aspects relatifs à la santé et à la sécurité au travail. Institués par les ordonnances de 2017 réformant profondément le droit du travail, les premiers CSE ont été instaurés en 2018.
Depuis le 1er janvier 2020, cette entité unique de représentation du personnel doit être mise en place dans toutes les entreprises comptant au moins 11 employés. Le CSE a ainsi succédé à la triade d’organes que constituaient le comité d’entreprise (CE), le comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) ainsi que les délégués du personnel (DP).
Parmi ses missions figurent la préservation de la santé, la promotion de la sécurité et l’optimisation des conditions de travail au sein de l’entreprise. « Une idée derrière cette fusion était de pouvoir débattre au sein d’une instance unique de sujets pouvant être interdépendants et répondant à des enjeux de nature de plus en plus globale afin d’avancer plus vite, là où il pouvait auparavant y avoir des fonctionnements plus cloisonnés », explique Thomas Nivelet, juriste à l’INRS.
Les salariés et le CSE :
64% des salariés estiment que le CSE est une instance importante pour eux. 73% déclarent connaître au moins un membre du CSE de leur entreprise. Du côté des représentants du personnel, 70% estiment que la proximité avec les salariés est un élément contribuant fortement au dialogue social, alors qu’ils ne sont que les directions évoquent en priorité le respect de la législation.
(Source : enquête sur l’état du dialogue social dans les entreprises réalisée par Ifop pour Syndex auprès de 1308 salariés, 917 représentants des salariés et 410 chefs d’entreprise et DRH, interrogés par questionnaire auto-administré fin 2022).
Le CSE et la Santé Sécurité au Travail :
Les élus du CSE doivent participer au processus d’établissement du Document Unique d’Evaluation des Risques Professionnels (DUERP). Ils peuvent aussi diligenter une enquête à la suite d’un accident du travail. Mais pour ce faire les élus ont besoin de monter en compétence sur les sujets SST.
C’est la que notre organisme, SecuryGreen, expert en prévention des risques intervient dans vos entreprise au plus proches de vos problématiques. Nos formateurs d’expriences apporteront les moyens aux élus de comprendre leurs prérogatives au sein du comité ainsi que les outils nécessaires à une bonne évalaution des risques et amélioration des conditions de travail. En effet, nous sommes conscient qu’aujourd’hui la sécurité ne doit plus être vue comme une contrainte mais comme un réel levier de performance de l’entreprise.
Il est vrai qu’aujourd’hui le bien-être au travail est un élément crucial pour la performance d’une entreprise. Un environnement de travail positif favorise la motivation et l’engagement des employés, ce qui se traduit par une productivité accrue. De plus, des employés heureux et épanouis sont moins sujets au stress et aux absences, ce qui réduit les coûts liés au turnover et à la santé. Et enfin, un bon équilibre entre vie professionnelle et personnelle permet aux employés de se sentir valorisés et respectés, ce qui renforce leur fidélité envers l’entreprise
Cette formation obligatoire (Formation CSE – SSCT) dans les 6 premiers mois du mandat, doit être à la fois complète, ludique et pratique, ce à quoi SecuryGreenn veille au quotidien.
Pour plus d’informations n’hésitez pas à nous contacter.
L’équipe SecuryGreen.